Dépassées par le nombre de connexions, les plates-formes internet de l’Éducation nationale saturent. Pour assurer la continuité pédagogique malgré la pandémie de Covid-19, les professeurs oscillent entre les outils des Gafam, qui siphonnent les données, et les logiciels libres, qui risquent eux aussi de craquer sous les sollicitations.
« J’ai fait une classe virtuelle hier. Faire cours sans voir les élèves, sans capter la dynamique de la classe… Est-ce qu’untel comprend ? A pris les bonnes notes au bon (...)